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Zoé, son ego, son estomac, sa vie...

9 décembre 2010

Message à Mr Connard.

« Connard.»


Mille personnes dansant à l'unisson dans une salle. Mille personnes de tocs et de paillettes, de sueur et de chair. Mille respirations saccadées, mille cœurs battant la chamade. Des milliards se sentiments contraires. Une équation aux solutions infinies. Eh dis donc, t'es super mignonne toi, ça te gêne pas si on danse ensemble ? Non je ne crois pas, vas te faire foutre, je suis déjà casée, c'est pas vrai mais ça tu le sais pas, et puis si ça me permet d'avoir la paix, tant mieux. Mais putain, qu'est ce que j'aime qu'on m'accoste en mode gros lourd. C'est comme un miroir qui me dit que je suis encore belle et jeune. J'ai encore du potentiel. Parce que je suis faible au point de croire que me déhancher comme une pute vêtue d'un bout de tissu mal taillé qui a engloutit toutes mes économies servira à détourner ton regard. Mais qu'est ce que tu peux t'en foutre. Et ça me rend dingue. Tu sais, j'ai tout essayé. Allumer un autre mec, me tourner en ridicule, te suivre dans le froid polaire de l'extérieur... Même t'espionner de manière tellement visible que forcément, tu surprendrais mon regard. Mais non, j'ai eu beau tout essayer, tu ne m'as jamais regardée. Tu RIAIS. J'en aurais hurlé de frustration tu sais. Je te voyais partout, de face, de dos, de profil, tes yeux de chat scintillaient partout dans le noir autour de moi sans jamais me fixer, ton sourire qui s'adressait à toutes sauf à moi, tes mains qui saisissaient tout sauf mon poignet. Je te voyais avec une pétasse blonde en train de lui peloter les seins, je te voyais au bar en train de faire du rentre dedans à une connasse, je te voyais dans les toilettes en train de copuler avec cette fille qui est dans ta classe. Alors les filles, ça va la vie ? Ah tiens, ça y'est, tu me parles. Pardon, tu nous parles, à moi et mes amies. Et tu ne me regarde même pas. Ton masque moqueur me rend folle, et ton sourire, ton putain de sourire qui m'envoie au septième ciel. Jusqu'à ce que je me damne en enfer pour entendre ton rire, évidemment. Tu ressembles à Satan, tu le sais ça, espèce de connard ? Non tu ne le sais pas. Jamais tu ne le sauras. Je préfère crever.


«As long as the wrong feels right it's like I'm in flight
High off of love, drunk from my hate
It's like I'm huffing paint
And I love it the more that I suffer, I suffocate
»
Eminem - Love the way you lie



deled


« Connard, j'adore la manière dont tu me mens»

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20 octobre 2010

Cause à effet, l'horreur de la Zoé

Gossip Girl, vu par une fille trop blasée qui en a marre des séries américaines :

Saison OUANE : Ouah, trop bien, une série avec une fille qui raconte les secrets croustillants de la jeunesse dorée de Manhattan ! Ca va être trop cool, de voir ces ados tordus, cokés, alcoolisées et complètement jetés se débattre dans leur monde pas si rose bonbon que ça  Puis Gossip Girl doit trop être une sorte de justicier masqué infiltré, comme Zorro, ça va tuer !
Hein quoi ? Mais bordel, c'est quoi ces jeunes complètement coincés du balais ? Pourquoi ils s'excusent tout le temps ? Pourquoi leurs soires ressemblent aux réceptions de ma grande tante en plus hype ? Ou est passé le dévergondage des classes aisées ? C'est quoi cette pseudo maturité qu'ils se donnent tous ? Ils peuvent pas paraitre leurs 20... ah non ? ILS ONT DIX SEPT ANS ? Même la pouffe blonde là, Jenny ? Comment ça elle en a QUATORZE ? Mais mais mais ... FUUUUCK
!


FUCK FUCK FUUUUUCK ! STOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOP !


Et voilà comment Zoé arrêta immédiatement le visionnage de Gossip Girl.

Zoé DETESTE les séries américaines, parce que ça continue de ressembler à Amour gloire et beauté (nan mais parfois, v'la les phrases cucul quoi !), parce que tous les personnages sont parfaits et bien sur eux même, parce que l'intrigue part en cacahouète au bout de cinq épisodes, parce que Zoé n'aime rien.


Mais Zoé a suivit jusqu'à la fin de la saison 2. Zoé aimait trop le couple Chuck/Blair (même si à la fin, fallait un peu se retirer les doigts du fion, bordel).

anyway

3 octobre 2010

Je crois en Meetic


mati


« Et les amours ? »



« Mais
TA GUEULE ! »


Ne mentez pas, vous aussi, une fois dans votre vie, vous avez eu envie de répondre ça à cette fatidique question. Surtout quand la personne en question vient de vous narrer en long, en large et en travers sa magnifique vie amoureuse et/ou sexuelle.

Une simple question, trois mots, quatre syllabes, onze lettres.

Et les milles différentes envies de meurtres qui les accompagnent.


Paria de l'amour jusqu'à l'os, j'ai déjà une immense allergie aux couples qui affichent leurs batifolages en plein jour. Pour tout dire, à chaque fois que j'en vois un, j'ai juste envie de sortir une batte de baseball et repeindre un mur avec leur sang. Mais alors en plus, qu'on me balance sous le nez mon désert sentimental, à moi qui n'ai absolument rien demandé, ça m'achève. Après ça, j'ai toujours l'impression d'être une grosse naze, et que le meilleur des choix est de creuser un trou et de m'y terrer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Cela dit, le jour où j'arriverai à me caser et que l'histoire de ma romance sera digne des meilleurs couples de séries américaines, je serais prête à supplier chacun de mes interlocuteurs de me poser cette question, rien que pour avoir le plaisir de enfin répondre avec satisfaction
 « C'est que du bonheur » .


En attendant, faudrait peut être me foutre un coup de pied au cul et aller allumer les inconnus torchés de soirée. Y'a que eux qui m'apprécient (parfois un peu trop aha).Mais je ne désespère pas. Je le trouverais, mon bogoss qui me fera glousser comme une dinde sous amphétamine.



(Ou peut être que finalement, pour ma santé mental, vaut mieux que je reste seule)

25 septembre 2010

En parlant du loup...

Je commence à me poser SÉRIEUSEMENT des questions...



maggle




16 septembre 2010

Si Big Brother allait sur Internet, il kifferait sa mère.

Ce qui est bien avec Canalblog, c'est qu'on a accès aux statistiques de notre blog.
Je peux savoir quelles sont les dernières visites, à quelle heure, le pays de provenance, l'adresse IP, comment la personne est arrivé sur mon blog... Bref, il ne me manque plus que le nom et j'ai le dossier complet !


Ce qui est le plus marrant, c'est qu'il fut une période où certains parvenais ici grâce à des mots clefs du genre :


  1. Zoé Lliane Salope
  2. Silva pute Lliane
  3. Bagelstar Jade salope
  4. Lliane Jade pute

Gens, je sais pas ce que vous aviez mangé à ce moment là... Mais j'vous aime !

Vous par contre, vous m'adorez un peu moins depuis ce message. Vous savez maintenant que je vous surveille !




what_if

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1 septembre 2010

Mon mari s'appel Arabica

Greece



Les Cyclades.

Si on vous en a déjà parlé, on a du vous dire un tas d'adjectifs plus émerveillés les uns que les autre à leur sujet.
Beau, superbe, magnifique, unique, dépaysant, mythique, bleu, turquoise, outremer, et blanc, lumineux, éclatant, magique, enchanteur, antiques, citées de rêve, paysages époustouflants, mer translucide, chaleur torride, nuit illuminée, villes qui ne dorment jamais...
Ils ont raison. C'est ça les Cyclades. Un endroit vraiment singulier, impossible de voir de telles îles ailleurs.

J'en ai ramené des souvenirs, des bons, des moins bon, des amitiés, peut êtres longues, ou pas, et une totale addiction pour ... le café glacé.

Une boisson servie quasiment partout là-bas. Moi qui ne suit pourtant pas accro au café en général, j'en suis tombée amoureuse. Faut goûter pour comprendre. Et pour aimer. Parce que c'est assez spécial tout de même.

J'aime bien l'idée que maintenant, la pensée des Cyclades me ramène la saveur et la fraîcheur du café glacé sur les lèvres.



Oh oh oh, pour ceux qui veulent suivre mes dessins, graph', tout ce que vous voulez... Par ici que ça se passe

17 août 2010

Pause. Marche avant

Et hop, ancien message supprimé.

Je tenais à dire tout d'abord que si je l'avait posté ici, sur mon blog, c'était pour être sûre qu'il puisse être lu. Désormais et deux semaines plus tard, il n'a plus raison d'être. Et puis autant de venin sur un si joli blog, ça fait tâche.

Ensuite, je vais mettre deux trois petites choses au clair :

  • Non, je n'ai jamais dit que dans l'histoire, j'étais la pauvre victime et que Jade était la grande méchante. J'ai expliqué ce que j'ai vécu, j'ai essayé de me rappeler exactement ce que j'ai ressenti à chaque fois, et plus encore, j'ai bien lavé mon linge sale en public. Et deux semaines plus tard, et en étant à tête reposée, je ne le regrette pas. Oui je me comporte comme une sale gamine, j'ai lâché des choses abominables et je suis allée trop loin, mais comme je le disais, "ça m'a fait du bien".
  • Ensuite, je n'ai jamais demandé à personne de me suivre. J'ai juste lâché mon pavé dans la mare en espérant qu'il provoque de bonnes grosses vagues, qu'il fasse réfléchir, surtout, mais jamais qu'on dise "tu as raisons, je suis avec toi !". Ca n'était pas dans mes intentions de crée un camp "anti-Jade". Qu'est ce que j'en ai bien à faire moi ? J'ai tout dit, toute mon expérience, je l'ai côtoyée, sur le net comme dans la vie, évidemment je ne prétend pas la connaitre complètement, mais j'en sais assez sur elle pour ne plus vouloir lui parler du tout. Encore une fois, c'est personnel, je ne cherche à convaincre personne du "Ouh mon Dieu, cette fille est Satan en personne !". Pour moi ce fut "la pute" mais pour quelqu'un d'autre c'est peut être une grande amie.
  • J'avoue totalement ne pas être blanche comme la colombe dans cette histoire. J'ai été stupide, malhonnête, hypocrite, paranoïaque, manipulatrice... enfin bref, tout ce que vous voulez, mais la plupart du temps j'ai dit la stricte vérité sur ce que j'en pensais moi. Mais je m'attendais à ce que l'emploi de la première personne et que j'ai appelé ce récit un "témoignage" ait suffit à faire comprendre que c'était mon point de vue, et uniquement le mien. Après que vous me jugiez sur ma façon d'être où sur ce que je pense à chaque fois n'a aucune importance pour moi. Si je devais prendre en compte les avis et les jugements de tout le monde sur le moindre de mes actes, je ne serais pas sortie de l'auberge. Et comme certains l'ont dit, je n'ai justement que 17 ans. J'ai tout mon temps pour grandir, mûrir, et arrêter de dire des conneries à longueur de journée.

J'assume, et je ré-assume tout ce que j'ai fait ou dit. Pensez en tout ce que vous voulez, désormais je passe à autre chose.

degan


21 juillet 2010

La couleur du Bonheur.

sum2Une lettre orange dans une boîte aux lettres outremer.
Mon nom dessus, tracé à l'encre bleue.
Et à l'intérieur, un soleil.

Sur une simple feuille de papier blanc, les mots se serrent les contre uns les autres, comme des écoliers sur un banc, pour tous avoir assez de place. Au début la lecture est ardue pour déchiffrer ce qui y est griffonné. Mais bien vite, on se laisse emporter par la rivière des paroles.
On ne sait pas pourquoi, mais de drôles de sensations nous assaillent, on a l'impression de mordre dans une barre de chocolat, de respirer à plein poumons du shampoing à la vanille et de tournoyer sur un manège. On a la saveur de la confiture de fraises sur la langue, et le souvenir d'une course effrénée dans l'herbe. L'odeur du feu de cheminée mélangée à celle de la barbe à papa, et le craquement sec des feuilles d'automne sous les pieds.

Ca chatouille, ça susurre, ça tournoie, ça se débat.
Et sans qu'on ne s'en rende compte, avec la le frôlement des plumes de l'ange qui a tracé avec application chacune de ces lettres, le sourire irrésistible vient s'ancrer sur nos lèvres. Pour ne pas les quitter avant longtemps.

C'est comme ouvrir une boite à musique. Sauf qu'a la place de musique, eh bien on a du bonheur.
Merci pour cette lettre du bonheur, Paloma

10 juin 2010

Take off your colors

elle


  • - Cueillir des cerises et mordre avidement dans leur chair gorgée de jus.
  • - Prendre une douche brulante d'1/2h alors que dehors il fait -3°.
  • - S'étaler dans l'herbe et n'avoir en face de soi que l'immensité bleue du ciel.
  • - Courir à toute jambe à la plage pour se jeter la tête la première dans la mer.
  • - rester tout un après-midi à somnoler dans son lit, la musique dans les oreilles.
  • - Se déhancher comme une folle sur la piste de danse.
  • - Serrer quelqu'un dans ses bras très fort.
  • - S'arrêter un instant pour écouter son cœur battre et sentir le sang circuler dans tout son corps, et se dire qu'on vit, tout simplement.
  • - S'asseoir dans un bus et regarder défiler le monde.
  • - Rire à en perdre la tête et à en avoir mal au ventre.
  • - Se lâcher sur scène devant des centaines de personnes, d'abord dévoré par le trac puis ensuite par le démon du spectacle.
  • - Croiser quelqu'un qui pourrait passer pour banal dans la rue, et se dire qu'il est beau.
  • - Regarder la neige tomber avec des yeux d'enfant.
  • - Tournoyer au milieu d'un champ de pissenlits.
  • - Se sentir dans un cocon indestructible lorsqu'on est entouré de ses amis.
  • -Finir un livre et sentir son cœur s'envoler à la dernière lettre du dernier mot avant FIN.
  • - Retrouver un jour un objet qu'on croyais avoir perdu pour toujours.
  • - Sentir la caresse du vent sur son visage.
  • - Prendre un grand verre de lait et souffler dedans avec une paille pour y faire des bulles.
  • - Faire une surprise à quelqu'un qu'on aime et voir le plus beau des sourires s'épanouir sur son visage.
  • - Inspirer à plein poumons l'air de la nuit.

Ce n'est que le début d'une liste quasi infinie de petits plaisir qui créent mon bonheur.
Je ne demande pas le nirvana. Rien que la magie du monde.
Celle de ces instants privilégiés, où l'univers semble tournoyer autour de nous.

1 juin 2010

Et on n'arrête pas le progrès.


blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah...blah... 


lol


"A
vec des si, on mettrait Paris en bouteille"

 



-Bah moi je dis, pas sûr que les obèses passent le goulot.


* * * * . . * * * * * * * . . * * * * * * * . . * * *  *

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